Se faire mener à la baguette…


Pour un apéritif sans chichi, une baguette garnie à préparer à l’avance.
Chéri s’est pris un an de plus dans les dents… L’occasion d’inviter des amis pour partager un verre et grignoter quelques amuse- bouche.
J’ai regardé  la recette ICI, mais je me suis aussi inspirée .  
Voici les ingrédients, "mes" proportions en fin de message.
Commencer par faire durcir les œufs.
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Une petite astuce qui fonctionne pour
ÉCALER les œufs
FACILEMENT...
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Rafraîchir après cuisson et mettre dans une verrine avec un peu d’eau.
Fermer et secouer énergiquement 5 ou 6 fois. La coquille se détache alors très facilement.
J’ai TESTÉ plusieurs fois avant de vous proposer ce truc, pour être bien sûre de ne pas vous annoncer une astuce bidon. 
Bref, les œufs sont prêts. J’ai haché au couteau le jambon, les cornichons et écrasé grossièrement les œufs à la fourchette.
J’ai ensuite mélangé tous les ingrédients.
Ouvrir la baguette en deux dans la longueur, sans détacher complètement et enlever la mie.
Remplacer par la garniture.
Bien tasser.
Refermer la baguette et emballer serré dans du papier alu.
Placer au four à 180° pendant 20 mn. Réserver au frais jusqu’au lendemain de préférence. Détailler en rondelles avec un couteau bien tranchant ou au couteau électrique.


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Voili, voilou : une baguette qui cache bien son jeu, plutôt sympa comme idée, non ?
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Le commissaire Maigret enquête…


Avec son flair exceptionnel, 
il n’a pas tardé à trouver mon mobile ! 

Comme toute future grand-mère, j’attendais avec impatience la naissance d’une petite poupée en mars… Déjà, du BONHEUR en perspective.

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COUP de THÉÂTRE : mademoiselle AMBRE a pointé le bout de son nez avec un bon mois d’avance. J’vous l'ai déjà dit, mais regardez donc comme elle est belle !
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Et puis, cerise sur le gâteau pour moi, les parents m’ont demandé de faire quelques accessoires pour sa chambre. (Z'imaginez bien : heureuse et flattée, la mamie). Carte blanche (Z'ont pas peur, hein !). 
J’ai commencé par le mobile. 
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J’étais un peu coincée pour le support. Heureusement, Sœurette - très conservatrice, mais ça m'a bien arrangée - a retrouvé et donné celui de son fils. Il me reste à confectionner les pampilles.
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Coloré, mais pas agressif. "Pas que du rose" m'a dit la maman. 
Je fais mes patrons, recommence plusieurs fois parfois…
Petit moment de désespoir, car pas de jaune pour le soleil ! Heureusement Zorro Claudine est arrivée et m’a fort gentiment dépannée. Il me plait bien ce soleil avec ses petits rubans...
J’ai déjà une petite chouette qui n’attend que ça !
     Un  attrape rêves pour l'occasion.
Ma boîte à rubans est ouverte pour faciliter mon choix.
Reste à agencer sur le mobile.
Pour terminer et rétablir l'équilibre (ça penche d'un côté), quelques petits pompons-fourchette sur un anneau de rideau recouvert de laine.
J'ai mis un petit point de colle chaude pour maintenir les rubans.
Voili, voilou : il est arrivé, je peux vous montrer...

Coupe au carré…

Avec mon grand bec toujours ouvert… j’imaginais, pensais, croyais qu’il était facile de réaliser un panier carré. 
     Eh bé, que nenni ! 
     Bon, je vous raconte…

* Au début tout va bien, puisque la base est la même que pour une forme ronde. Une  différence, mais je maîtrise, un cordon de base pour asseoir le panier, puis, je continue le fond.
* Premier hic... surmontable : les montants pour la suite, car ils n’ont pas tous la même longueur. Certains servent uniquement pour le tour (la clôture en jargon de vannier) et la bordure, d’autres sont utilisés en partie pour terminer le fond, puis la clôture et la bordure.
* Former les angles : chacun se travaille séparément. Après, 1 tour en torche (3 brins), pour maintenir en place, le fond est prêt.
* Je commence la clôture. Je glisse des montants supplémentaires, les coursons, pour rigidifier la clôture. 
* Après quelques rangs, je  fais une petite fantaisie, appelée fleur de lys. Ça je sais faire aussi toute seule.
* Je reprends le tissage à 3 brins. Imperceptiblement, (à l’insu de mon plein gré, comme certains ont coutume de dire) mon panier carré prend des rondeurs dans les angles et tout aussi subrepticement devient légèrement conique : oh pas beaucoup, mais suffisamment pour que ça se voit… Enfin, c’est surtout les autres qui voient, car toute à mon ouvrage, je ne m’en aperçois pas.
Gentiment, Véronique (la maîtresse) me dit que cela fait un genre, et c’est vrai que ce n’est pas (complètement) moche …
* La hauteur voulue, je fais un cordon puis la bordure. Toujours délicat d’arrêter la bordure et glisser les montants au bon endroit… Véronique surveille, mais ça commence à rentrer.
* Je réalise un pied de nez, pour éviter que le panier repose directement sur le fond. Je ne vous expose pas la technique ici, mais pas trop de difficulté.
* L’anse… Ah, l’anse ! Je n’ose pas dire que c’est moi qui l’ai faite, car ce serait un mensonge digne de Pinocchio… J’ai participé-je crois que je vous dis cela à chaque fois- mais je participe de plus en plus. Honnêtement, je ne maîtrise pas encore, mais un jour je l’aurai… pas de problème.
* Après séchage d’une semaine, je coupe tous les brins que dépassent et brûle ou coupe toutes les effilochades de rotin !
* Je passe une teinte en laissant uniquement la fleur de lys et la bordure en naturel.
* Puis dernière opération, vernissage. Le voilà prêt à être présenté. Cependant, j‘hésite : est ce un panier carré aux coins arrondis… ou un panier ronds à angles ? Les deux  reflètent une réalité certaine ! 
Même si je suis carrément déçue, ce premier essai rondement mené m’a donné envie de recommencer, ce que je vais faire bientôt ! Après tout, Paris ne s’est pas fait en un jour !
Voili, voilou : peut être trouvera t-il acquéreur tout de même...

100% des gagnants ont tenté leur chance…

Ce slogan sous forme de Lapalissade (en un seul mot, hi, hi, hi), également appelé tautologie, m’a toujours fait rire.
Fin janvier, je vous avais présenté ICI, un article de Stéphanie bricole où l’on pouvait gagner un lot de peintures de chez "Maison Déco".
Depuis ce moment, je trépignais d’impatience en attendant le 15 février, jour du tirage !
     * Pourquoi pas moi ?
     * Oui, mais pourquoi moi ??

Le jour J, le tirage a eu lieu et vous vous doutez bien que si je vous en parle, c’est que…  c’est que...

J’AI GAGNE…
Oui,

MOI,
BIBI,
votre serviteur...

Du coup, j’exulte, je jubile.
Vous pensez bien, j’ai déjà choisi mes teintes.  Je vous montrerai lorsque j’aurai reçu mon lot et bien entendu mes réalisations avec ce cadeau.
En attendant, je remercie CHALEUREUSEMENT Stéphanie de nous avoir proposé ce jeu et Maison Déco pour ce beau lot qui permet de découvrir leurs produits !

Du fil à retordre !

Fil de laine et fil de fer font bon ménage.

Après mes élucubrations en fil de fer ou en tricotin, me voici à tricotiner pour un petit cadeau de naissance.

TIAGO est né en décembre 2015, et pour lui souhaiter la bienvenue, son prénom à accrocher sur la porte ou dans sa chambre.

Je m’applique à écrire grandeur nature, sans lever la main… Et mesure cette longueur. L’air de rien, il va tout de même falloir 2,10 m de tricotin.  (Je prévois un peu en plus, au cas où… )
Mise en forme :
* Recourber le bout du fil de fer, pour le glisser plus facilement dans le tube de tricotin.
* La longueur est prête.
* Je m’applique à suivre les méandres du modèle pour écrire.
Je couds bord à bord les endroits où il y a double épaisseur. Le prénom est terminé.
J'avais pensé faire un nuage aussi en tricotin, mais je change et pars sur une base en carton.
Tout le tour est recouvert de kraft gommé.
La tranche est passée à la peinture noire et je colle de la tapisserie recto verso.
J'installe le prénom et sors le pistolet à colle pour le fixer. 

Pour terminer quelques petits nuages blancs et du ruban. (Z'avez vu, je reste sobre !)
Je n'ose pas l'envoyer par la poste, je ferai la livraison un peu plus tard. J'espère que les parents ne m'en voudront pas de l'avoir déjà mis sur le blog...
Voili, voilou : et vous, qu'en pensez vous ?
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